Dans le mouvement lent de cette symphonie, ce qu’on appelle un adagio, les cordes jouent une mélodie très expressive mais qui semble résignée.
Sibelius fait entrer progressivement les vents, qui reprennent la gamme ascendante des cordes, pour ajouter de la puissance tragique à son lyrisme.
Écoute ! L’orchestre atteint sa pleine intensité ! Malgré la puissance et la tonalité en do majeur, cette symphonie garde pourtant une couleur très pessimiste.
Sibelius me rend triste...